
Le verdissement de la planète utilisé dans un raisonnement trompeur par François Gervais omettant les impacts négatifs du changement climatique
Affirmation :
La planète verdit grâce au CO2, c’est une bonne nouvelle pour nourrir la population.
Récemment
Affirmation :
La planète verdit grâce au CO2, c’est une bonne nouvelle pour nourrir la population.
Affirmation :
Les voitures électriques sont plus polluantes que les voitures hybrides, thermiques
Les incendies de forêt surviennent lorsque plusieurs conditions sont réunies; ils ne peuvent pas être imputés à un seul facteur. Le changement climatique peut accroître le risque et la gravité des incendies en aggravant les conditions qui les favorisent et les entretiennent (par exemple, les conditions arides et sèches).
Affirmation :
Les catastrophes climatiques et le changement climatique n’influencent pas, ou peu, la mobilité humaine
En 2024, la température moyenne mondiale atteint 15,1°C, soit 1,6°C de plus qu’avant l’ère industrielle (1850-1900). C’est la première fois qu’une année calendaire dépasse 1,5°C de réchauffement. Mais se focaliser sur une seule année ne suffit pas pour renseigner sur l’évolution long-terme du climat.
Affirmation :
À cause des énergies renouvelables, il faut rouvrir les centrales à charbon.
La différence essentielle réside dans l’échelle de temps : les conditions météorologiques sont surveillées pendant des jours ou des semaines, tandis que le climat l’est généralement pendant des décennies, voire plus. Les affirmations en ligne qui s’appuient sur des faits anecdotiques pour prétendre que ces changements climatiques sont « normaux » sont inexactes.
Les inondations sont influencées par de nombreux facteurs : les pluies extrêmes, mais aussi les fluctuations naturelles du climat, la sécheresse des sols, l’urbanisation, l’ingénierie des rivières, etc. On observe aujourd’hui une augmentation de la fréquence et de l’intensité des pluies extrêmes.
Affirmation :
HAARP est responsable des récentes inondations en Espagne, au Nouveau-Mexique et ailleurs
Affirmation :
Depuis plus de dix ans, le minimum estival d’extension de la banquise arctique demeure à peu près stable, ce qui remet en cause la science du climat.